Club des collectionneurs en Arts Visuels de Québec

Galerie Bernard présente l’exposition, Eva Lapka, Lali Torma.

Venez rencontrer l’artiste Sébastien Lafleur, Carole Baillargeon…

La Galerie Bernard est heureuse de vous annoncer l’exposition collective PAYSAGES CROISÉS / HORIZONS INÉDITS des artistes Karine Demers, Robert Deschênes, Lise Gagné et Géza Hermann, présentée du 15 septembre au 9 octobre 2021.
Cette exposition d’œuvres aux énigmatiques paysages abstraits offre une nature libérée de ses représentations conventionnelles. Ce corpus singulier, nuancé et complémentaire, est rassemblé sous la volonté d’un regard poétique sur le paysage, la biodiversité et l’écologie. Prenant forme via la peinture, le dessin, la photographie et la manipulation du papier, ces œuvres nous envoûtent par leur romantisme, leur luminescence et leur esprit de fantaisie décomplexé. Les artistes formulent ainsi un désir collectif de dialoguer avec le paysage et ses significations émotionnelles, symboliques, écologiques et picturales – provoquant une réflexion sur notre relation à la nature. C’est dans une esthétique graphique et symbolique, puisée dans leur perception et leur expérience du naturel que les paysages croisés de Demers, Deschênes, Gagné et Hermann nous invitent à porter notre regard sur des horizons inédits.
Les sculptures murales en papier de Karine Demers sont en perpétuel contact avec l’analyse de son identité intérieure et psychologique, la tradition de l’artisanat et de l’origami. C’est en pliant des découpages qu’elle construit des compositions complexes, minutieuses et séduisantes. Par des jeux de lumière et d’ombre, ses sublimes assemblages façonnent textures, rythmes, cartographies, impressions de bouquets floraux et d’architectures naturelles.

MARIETTE ET SES CONTEMPORAINES

Du 14 novembre au 21 décembre.

Vernissage le 13 novembre.

La Galerie Bernard est heureuse de présenter, du 13 novembre au 21 décembre 2019, l’exposition MARIETTE ET SES CONTEMPORAINES. Ce collectif réunit les artistes Carole Baillargeon, Marie-Fauve Bélanger, Charlie Lescault et Stéphanie L’Heureux autour de la grande pionnière des arts textiles au Québec, Mariette Rousseau-Vermette (1926-2006).

Reconnue pour ses tapisseries monumentales, Mariette Rousseau-Vermette est l’artiste peintre-lissier de réputation internationale ayant marqué l’avant-gardisme québécois, dans les années 60, avec son époux l’artiste céramiste Claude Vermette (1930-2006). Durant sa longue carrière, elle a redéfini les frontières entre le design, les arts décoratifs et l’art contemporain. Elle a sans cesse renouvelé, pendant près de 60 ans, son vaste savoir-faire du métier à tisser au gré de sa vision radicale, audacieuse et toujours actuelle.

C’est dans l’optique de se remémorer ce qu’étaient les métiers d’art au Québec dans les années 1970 et d’explorer leur évolution que nous tissons des liens entre les œuvres de cette grande femme qu’était Rousseau-Vermette avec le travail de prodigieuses artistes telles que : Baillargeon, Bélanger, Lescault et L’Heureux.

Carole Baillargeon, artiste sculpteure, participe au renouveau des techniques du textile en art contemporain, tout en évoquant des préoccupations environnementales et écologiques. L’artiste recycle du denim pour créer de surprenantes œuvres sculpturales anthropomorphiques, offrant au spectateur l’accès à une puissante narration sur la condition humaine. À la fois complexe, vulnérable et impermanent, l’humain est traité comme sujet principal dans les sculptures-vêtements de Baillargeon. Cette orientation se développe dans une pratique hybride combinant audacieusement arts visuels, scénographie, métiers d’art et artisanat.

Marie-Fauve Bélanger crée des sculptures alliant des matériaux naturels et artificiels tels que des bois nobles ou recyclés, du plexiglass et de la résine. Assemblant ces matières et leur donnant forme avec une étonnante découpe, ses pièces apparaissent comme d’extraordinaires fragments géologiques révélant la limite subtile entre le paysage naturel et transformé. L’artiste nous propose ainsi des simulacres de pierres précieuses, de lumineux glaciers ou encore de surréalistes montagnes. Grâce à sa technique de métiers d’art, ses rondes-bosses, ambivalents paysages, sont des exemples novateurs d’élaboration de formes sculpturales en hommage à la nature.

Charlie Lescault porte une attention particulière aux motifs et l’exploite lors de la création de ses dessins sur papier et ses sculptures en vinyle. Questionnant les rapprochements entre les univers animal, minéral et végétal, ses œuvres sont le reflet d’un regard curieux et approfondi sur la nature environnante. Lescault utilise des techniques artisanales telles que : le tressage, le nouage et le pliage pour la réalisation de ses sculptures aux formes atypiques. Avec ses ornements graphiques, répétitifs et minutieux, reproduisant des motifs naturels (fourrure, écailles, coraux), l’artiste crée d’étranges organismes oscillant entre inertie et vitalité qui flottent, rampent ou s’agrippent au support ou à l’espace d’exposition qui parfois, conduisent à un agréable inconfort visuel…

Stéphanie L’Heureux conçoit, grâce au pliage du papier japonais et l’utilisation de la teinture indigo, des œuvres nous rappelant à la fois les origamis, la courtepointe ou la mosaïque. Toujours intéressée par des enjeux formalistes, l’artiste explore les propriétés de cette traditionnelle et écologique matière pour la création de ses fortes abstractions géométriques générées à travers ses propres et singulières techniques de teintures. Ses œuvres, raffinées, sont imbibées de nuances de couleurs propres à la nature, évoquant une certaine tranquillité, des états introspectifs. L’Heureux applique ses connaissances du textile et de la teinture suivant une vision indéniablement contemporaine, conférant toutefois à ses papiers l’apparence d’étoffes d’une autre époque.

Chacune à leur manière, ces ambitieuses artistes transcendent différents savoir-faires suivant leurs sensibilités contemporaines et leurs uniques styles tout en tirant leurs références de l’histoire des métiers d’art et de l’artisanat. C’est dans ce même esprit de témérité et d’authenticité qu’œuvrait Mariette Rousseau-Vermette, et cela lui a assurément permis de laisser sa marque, indélébile, sur la scène culturelle du Québec. Nul doute que son héritage inspire encore aujourd’hui d’innombrables artistes. C’est donc avec toute notre admiration envers cette unique artiste de la modernité québécoise que nous vous invitons à venir contempler son œuvre qui, irréfutablement, influence les créations de celles qui marqueront à leur tour les générations à venir.

Richard Cloutier du 23 mai au 29 juin 2019.

Réparations.

Vernissage le 22 mai de 17h. à 20h.

Avec la répétition de gestes minutieux reproduisant des motifs naturels (fourrure, écailles, coraux), Charlie Lescault crée des organismes curieux. Sa grande précision technique et son utilisation de matière synthétique (vinyle) procurent à ses formes fantasmées des propriétés alchimiques. Ces formes sont complexes, délicates et poétiques, oscillant entre inertie et vitalité.
Richard Cloutier propose des architectures abstraites, plans et cartographies, dont les nombreuses itérations leur insufflent une affectivité palpable. Par les aléas de la peinture, le plan architectural est détourné de sa fonction. Celui-ci se construit au fur et à mesure que l’artiste intervient; ses titres évocateurs imprègnent ses œuvres d’une sensibilité imprévue.

 

Le formalisme ludique de Manuel Bisson laisse place à des espaces imaginaires qui font cohabiter divers univers. Des motifs rappelant l’animal, le minéral et le végétal surgissent au sein de formes géométriques franches et de traits vaporeux, créant de vibrants amalgames. Les œuvres distinctives de Bisson, dans cette exposition, cultivent de riches alliances avec celles des deux autres artistes.

 

C’est par une fascinante évocation du naturel, l’imitation de la nature versus l’artificiel, la (dé)construction de formes architecturales et par le surgissement de singulières textures que l’ensemble de ce corpus nous propose de nouvelles interprétations de l’espace pictural et de la forme. Les œuvres de l’exposition (IN)ORGANIQUE portent dans leurs oscillations l’éloquente charge esthétique d’un formalisme rafraîchi et l’affectivité prenante de sujets qui nous semblent vivants.

Charlie Lescault

La vie sauvage

Exposition du 9 août au 15 septembre 2018

Vernissage le 8 août de 17h à 20h

3926, rue Saint-Denis

Montréal (Québec) H2W 2M2

La Galerie Bernard est fière de vous présenter, du 16 mai au 23 juin 2018, l’exposition TRACER LE BOIS des artistes Yannick De Serre et Suzanne Lafrance, artiste invitée.  L’exposition nous fait découvrir deux pratiques distinctes sur papier, l’une abstraite, l’autre figurative. Réunies dans une réflexion sur la signification et les impacts de l’événement circonstanciel sur notre corps et notre pensée, leurs œuvres inédites suggèrent une exploration intime des fondements de l’expérience humaine.

Galerie Bernard présente, André Jasmin.

Éclats d’une mémoire.

Vernissage le 28 mars de 17h à 20h.

Exposition du 29 mars au 5 mai 2018.

La Galerie Bernard a le plaisir de vous présenter, du 7 février au 17 mars l’exposition TRACES DU PASSÉ,IMAGES DU PRÉSENT de l’artiste Gilles Boisvert.Les oeuvres graphiques et abstraites de 1960 à 2017 présentées dans le cadre de cette exposition,témoignent de la fructueuse carrière de l’artiste peintre .Boisvert nous trace ainsi l’évolution de son incomparable et unique style qu’il n’a cessé de parfaire depuis plus de 50 ans.

À cette blancheur qui se pose.

Exposition du 16 nov. au 22 déc. 2017

Vernissage le 15 nov. de 17h à 20h

Carole Baillargeon, Gilles Boisvert, Yannick de Serre, Lise Gagné, Eva Lapka, Fernand Toupin,

L’empreinte du geste.

Vernissage le 27 septembre 2017.

Du 28 septembre au 4 novembre 2017.

Carole Baillargeon.

Jouer sans gagnant, ni perdant.

Du 10 août au 16 septembre 2017.

Vernissage le 9 août de 17h à 20h.

La Galerie Bernard est fière de présenter pour la première fois une exposition solo de l’artiste Carole Baillargeon…

Raymond DUPUIS

D’origine autochtone malécite, Raymond Dupuis traite souvent de son intime recherche identitaire dans son travail. Il dessine la territorialité mnémonique, réinventant des rythmes et signaux aux racines immémoriales. Il sédentarise son œuvre par des cartographies de dérives psycho-géographiques. L’artiste revendique la présence des traces et des signes qui témoignent de ses origines.

Ses premiers assemblages, ressemblant à des totems, sont construits à partir de pièces d’appareil électroniques divers. Il y ajoute aussi des symboles propres aux peuples autochtones Hopi et Navajo du Nouveau-Mexique. Ses pièces lui permettent de donner une voix à ces peuples anciens par l’entremise d’éléments de communication moderne désuets. Il tente d’établir un rapport cohérent et de trouver l’équilibre entre les cultures traditionnelles et la modernité des sociétés d’aujourd’hui.

L’artiste entretient un rapport très fort au territoire et l’illustre à travers une série d’œuvres amalgamant huile, collages et photographies. Il essaie, dans cette mise en scène, de reconfigurer les territoires oubliés et perdus de ses ancêtres. Ses travaux rendent compte d’un lent glissement du temps dans l’expérience urbaine, en éclairant d’un jour nouveau son “amérindianité”. Ils mettent de l’avant l’héritage culturel de ses précurseurs à travers les réalités du monde contemporain. Il se sent Malécite dans la forêt et québécois en milieu urbain, il est donc Métis et l’exprime dans ses œuvres.

Rusdi Genest est né à Sherbrooke, en 1939. Ancien élève de l’École des beaux-arts de Montréal, Rusdi Genest a poursuivi sa formation artistique aux États-Unis et en France. Il réside en Californie, de 1964 à 1970, et il se spécialise en sculpture à l’Université de Californie de Long Beach. Plus tard, il enseigne la sculpture et participe à des ateliers de créativité, danse et théâtre. En France, il fréquente les ateliers de l’École des beaux-arts de Paris et de l’École des métiers d’art. Il œuvre auprès des sculpteurs César, Martin, Couturier et Volpi. De retour au Canada, Genest obtient une maîtrise en arts plastiques à l’UQÀM, en 1981. Pendant plusieurs années, il enseigne la sculpture à l’Université du Québec à Chicoutimi et ensuite à l’École des beaux-arts Saidye Bronfman, à Montréal. Rusdi Genest, est récipiendaire de prix : de la Californie à Paris, à Ravenne, à Toronto. Il est membre de l’Académie royale des arts du Canada. Il a réalisé des monuments d’intégration à l’architecture et obtenu des subventions gouvernementales. Ses œuvres ont été exposées internationalement et peuvent être trouvées dans des collections muséales et publiques à travers le monde, entre autre : aux Archives nationales et à la Bibliothèque nationale du Canada.

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Yannick De Serre

ON MY WAY, À LA MAISON

Du 10 novembre au 17 décembre 2016

Vernissage le 9 novembre de 17h à 20h

Pour sa première exposition solo à la Galerie Bernard, Yannick De Serre nous offre un bouquet d’émotions, un florilège poétique d’œuvres sur papier. Heureux mariage entre le dessin, l’embossage, la gravure et le collage, son travail se distingue par sa grande qualité technique, ses compositions audacieuses et sa sobriété. Depuis maintenant plus de 10 ans, l’artiste travaille uniquement sur papier. Il maîtrise la matière et transcende les techniques.

Le corpus de 34 œuvres, toutes présentées pour la première fois, poursuit dans la veine épurée à laquelle Yannick De Serre nous a jusqu’ici habitués. La fascination du Grand Nord a mené aux paysages vides, les constellations stellaires à la constante lutte entre l’abstrait et le figuratif, le noir et le blanc représentent la dualité entre le bien-être et le mal-être. Exigeant un regard attentif, son travail se découvre lentement, à la manière des gravures flamandes ou d’un haïku japonais.

 

ON MY WAY, À LA MAISON évoque une promenade dans le paysage intérieur de l’artiste qui nous ouvre généreusement ses carnets, journal intime de sa création, et nous donne accès à un univers bouleversant : le sien. Les paysages que nous voyons font écho aux réflexions de l’artiste exprimées dans ses journaux intimes. Il fait le tour de son jardin, il se balade au gré du vent et de l’inspiration pour finir par comprendre que jamais il ne quitte son intérieur, sa maison. La vérité de l’artiste se trouve en lui-même.

Le travail de Yannick De Serre a fait l’objet de nombreuses expositions solos et collectives. On a apprécié ses présentations individuelles: au Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul et à la Maison amérindienne de Mont-Saint-Hilaire (2012), à la Maison des arts et de la culture de Brompton et à la Galerie Modulum (2013), à Aires Libres à Montréal (2014) ainsi qu’à Zocalo, Centre d’artistes en art imprimé de Longueuil (2015). Au cours des prochains mois on pourra voir ses plus récentes créations à la Bibliothèque de Varennes, au Musée Bruck de Cowansville et également dans une exposition collective au centre CIRCA art actuel à Montréal. Ses œuvres ont été présentées à la foire internationale Art Basel en Suisse et à la foire Papier de Montréal. Yannick De Serre a participé à diverses résidences d’artistes et est bénéficiaire de plusieurs bourses. Ses œuvres font partie de prestigieuses collections privées et institutionnelles. Il est représenté par la Galerie Bernard depuis 2015.

 

Natif de la Mauricie, Yannick De Serre vit et travaille à Montréal, depuis 2004.

Source: Normand Babin

Joseph-Richard Veilleux

La galerie Bernard a le plaisir de présenter une sélection de nouvelles oeuvres de l’artiste,Joseph-Ricahrd Veilleux,du 18 août au 17 septembre 2016,dans le cadre de l’exposition << Les allants ailleurs >>

https://courrielweb.videotron.com/iwc_s...ayout/shell.html?lang=

PAPIER16

La Galerie Bernard sera présente à la foire d’art contemporain d’œuvres sur papier qui aura lieu cette année au Hangar 16 – Quai de l’horloge dans le Vieux Port de Montréal.

Venez découvrir les œuvres de :  Manuel BISSON | Gilles BOISVERT | Richard CLOUTIER | Éric DAUDELIN | Yannick DE SERRE | Lise GAGNÉ | Rusdi GENEST | André JASMIN | Stéphanie L’HEUREUX | Steven ORNER | Fernand TOUPIN | Joseph-Richard VEILLEUX | Claude VERMETTE

VENDREDI 22 AVRIL

12h – 21h

SAMEDI 23 AVRIL

11h – 19h

DIMANCHE 24 AVRIL

11h – 18h

Bienvenue!

Galerie Bernard

Galerie Bernard présente André Jasmin.

QUAND L’ART N’A PAS D’ÂGE

Exposition du 31 mars au 30 avril 2016

Vernissage le 30 mars de 17h à 20h

3926,rue Saint-Denis

Montréal(Québec) H2W 2M2

514 277 0770

Galerie Bernard-pub

Galerie Bernard-2

Galerie Bernard-3

Galerie Bernard-en tete

Exposition collective sur mesure.

Du 19 novembre au 19 décembre 2015

Vernissage le mercredi 18 novembre,de 17h à 20h

Group Exhibition sur mesure

From November 19th to December 2015

Opening on Wednesday November 18th,from 5;00 to 8;00 pm

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